On notera l'utilisation tout à fait innocente du mot « razzia » dans pas mal de commentaires !
Mine de rien, je remarque de plus en plus de commentaires appelant à un soulèvement des Vrais Français contre les immigrés, ce qui ne manque pas de rappeler [url="http://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_des_Italiens_d'Aigues-Mortes"]certaines fiertés de notre vieux pays[/url].
andre druzoli
On a laissé rentrer n’importe qui dans le pays depuis 30 ans.Il suffit qu'il y ait un attroupement quelque part pour que les cités débarquent pour tout casser.Valls dénonce les casseurs,l'UMP accuse Valls mais les vrais responsables sont les français qui ont laissé faire et qui continuent de fermer les yeux en vivant dans des rêves d'exception à la française.Tant qu'il n'y aura pas un réveil national,les émeutes continueront.
Tenez, pour rire, voici un article qui date de 1898 :
" Chaque jour plus nombreux, les ouvriers étrangers viennent faire concurrence à la main-d'oeuvre
nationale, les uns sans esprit de retour, avec l'intention de se fixer dans notre pays, de s'y faire
naturaliser au bout d'un temps plus ou moins long, les autres infiniment plus nombreux, dans l'idée d'y
réunir quelque argent qu'ils remporteront ensuite dans leur pays natal. Les uns et les autres contribuent à
déprécier les salaires français, les seconds surtout - venus en France sans famille, vivant en commun,
s'imposant de lourdes privations qu'un homme ne peut supporter que pendant un temps limité, acceptant
un surmenage anormal - peuvent sur le marché du travail offrir leur travail à des prix absolument
inférieurs qui tendent à maintenir à un niveau inférieur aussi le taux général des salaires. Cette influence
se fait sentir dans de nombreuses régions de notre pays, en particulier, cela va de soi, dans les
provinces frontières, dans le Nord et le Nord-Est, où Belges et Luxembourgeois affluent, dans le Sud et
le Sud-Est où Italiens et Espagnols pullulent.
Nous demandons, que, dans toute industrie, les ouvriers étrangers ne puissent être embauchés à des
salaires inférieurs aux salaires français, ceux-ci pouvant être aisément constatés dans l'industrie et dans
la région, par un Conseil mixte ouvrier et patronal, tel, par exemple, le Conseil des prud'hommes.
Conclusion : l'histoire se répète sans cesse.