Critique : Everybody’s Gone to the Rapture

En 2012 sortait Dear Esther, premier titre commercial du studio anglais The Chinese Room, qui allait devenir la figure de proue de ce que l’on n’appelait pas encore les « walking simulators ». Ces jeux de « balade » à la première personne aux interactions ultra-minimalistes, qui font de la narration environnementale leur essence même, accordent souvent une place capitale à la musique, à qui il reviendra d’imprimer son rythme et sa couleur à cette narration. Cela n’est sans doute nulle part plus vrai que chez The Chinese Room, dont la compositrice Jessica Curry est également codirectrice créative. Trois ans plus tard, le studio arrive sur PlayStation 4 avec son second projet original, au concept toujours aussi radical, mais aux ambitions largement rehaussées. Il en va de même de son accompagnement musical.

2 commentaires

  1. Fanny   •  

    Merci pour le lien de l’article, le point de vue est en effet très intéressant. ^^

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