Encore un morceau bourré de mélancolie, difficile d'oublier les longues heures que j'ai passé sur ce jeu avec ce morceau en fond. Les graphismes étaient peut-être nihilistes et impersonnels sur Gameboy, mais grâce au travail de Nobuo Uematsu, je ne me posais pas de questions, j'étais juste à fond.